Vendredi 13 mars 5 13 /03 /Mars 16:58

Rencontre avec mon Maître

 

- Le jour de la rencontre est enfin arrivé.

Je suis dans ce train qui, kilomètre après kilomètres, me rapproche de lui. L’inquiétude ne m'a pas lâché depuis quelques jours.

Vais-je être à la hauteur de ses espérances ?

Suis-je habillée comme il le veut ?

Jupe, bas, talons, corsage, pas de dessous évidemment, mais je doute tellement de moi.

 

- L'heure tourne, je suis arrivée.

- Notre nouvelle rencontre physique comme si c'était la première j'allais passer de soumise a KAJIRA.

 

Je descends du train, mon sac à main et ma valise et je reste quelques secondes immobile, sur le quai. Je prends ma respiration, et un pied devant l'autre, j'avance vers mon Maître, ma futur vie de soumise KAJIRA.

 

Il est là, devant moi. Droit, fier, son port altier me laisse figée sur place.

Déjà, il m'impressionne. Il sourit. Ce sourire me fait fondre littéralement.

Je m'avance vers lui, les yeux baissés. Je m'arrête, pose ma valise et attend.

Que dois-je faire ?

Finalement, c'est lui qui agit.

Il me prend dans ses bras, m'embrasse.

Je suis là, enfin, dans ses bras.

Un sentiment de protection, de soulagement, d'excitation, envahit mon être.

Il prend ma valise d'une main, ma main de l'autre et m’entraîne vers sa voiture.

 

Une fois la valise rangée sagement dans le coffre,

il m'ouvre la portière et je m'installe confortablement sur le siège passager.

Il monte à coté de moi. Je m'attends à ce qu'il démarre mais non.

Il se tourne vers moi et me regarde.

Son regard plonge en moi profond, je le sent inquisiteur, prenant possession de mon âme de mon corps il entre en moi. Dois-je baisser les yeux?

Je ne sais que faire comment agir, mon sexe mouille de plus en plus, mon dieu s'il s'en aperçoit il va me punir je jouis de sa possession du regard profond.

 

Sa voix grave répond à mes interrogations, il a deviné,

 ""Non ne basse pas le regard je te dirais quand""

 Oui c'est et sera bien LUI mon Maître.

 

Sa main pars sous ma jupe, avec force et ses doigts forcent l'entrée humide de mon vagin, je reste écartelé ainsi  Maître me fouille le sexe.

 

Conformément à ses attentes, je ne bouge pas, je suis assise, les jambes écartées, le buste bien droit. ""Baisse le regard Maintenant..!""

L'ordre est sans ambigüité, directe, impératif, j'obéis immédiatement, mon corps tremble, frémis, deux doigt puis un troisième, la main presque entre dans mon sexe et va et viens avec force et puissance, je vais jouir et je n'ai pas l'autorisation,

Soudain il se retire de mon sexe, au moment ou j'allais jouir IL a deviné, Maître  me teste.

 

 

Mes yeux baissés indiquent clairement mon acceptation de soumission envers lui.

Il tend la main, me caresse les seins, puis redescend sur ma cuisse.

 

Il sourit en caressant mes bas et en remontant vers mon intimité.

Je ferme les yeux. Cette main, je l'ai imaginée tant de fois, attendu si longtemps.

 

Elle est douce, ferme, inquisitrice. Il me caresse en surface, les lèvres, l’intérieur de mes cuisses, puis, sans crier gare, enfonce ses doigts entre mes lèvres. Je sursaute, mon clitoris aussi. Il me fouille de nouveau, joue avec mon clitoris, vérifie mon état d'excitation.

 

« Te voilà bien excitée, ma soumise, j'aime te sentir comme ça. As-tu envie de ton Maître ? »

 

« Oh oui, Maître, terriblement envie »

 

« Bien, nous allons à l’hôtel, et tu me montreras à quel point tu as envie de m'appartenir »

 

Durant le trajet, il me questionne sur la qualité de mon voyage, si je suis fatiguée, et autres choses encore. Je l'écoute, fascinée par sa voix, pourtant maintes fois entendus au téléphone. Je ne remarque même pas que la voiture est arrêtée et que nous sommes à l’hôtel.

 

Nous gagnons notre chambre, cette chambre qui sera témoin de mon rite de passage. De mon allégeance, de ma servitude, de mon engagement et bien d'autres choses que j'ignore encore, et que je vais découvrir avec LUI.

 

Maître , me désigne un endroit dans la pièce.

Je sais ce qu'il attend, nous en avons parlés.

Je me déshabille, bas, guêpière, talons, voilà se qu'il me reste sur le corps.

Je m'agenouille, genoux écartelés, afin de libérer l'accès à mon intimité,

Le buste bien droit, la tête baissée, les bras tendus, paumes vers le haut.

Il pose la cravache sur mes mains.

 

Me voilà prête pour mon serment d'allégeance à cet HOMME à ce MÂLE qui deviendra officiellement mon MAÎTRE ET MOI SA FEMELLE, après ça.

 

 Le serment d'allégeance, celui-là même que je me répète tout les jours

Depuis des semaines. Je le connais par cœur, c'est moi qui l'ai écrit

avec mes mots mais dicté par mon cœur.

Je le connais par cœur, alors pourquoi ce blocage ?

Je panique,

je ne m'en souviens plus !!! Je suis terrifiée, bon sang, non,

je ne vais pas échouer maintenant, à peine arrivée !!

Concentre-toi, réfléchie !!!

Sans m'en rendre compte, ma bouche s'ouvre et des mots sortent.

 

« C'est la conscience apaisée et le cœur serein que je me remet entre vos mains. Je dépose ma vie, mon corps et mon âme, à vos pieds. Je jure de vous obéir, vous honorer et vous servir, sans jamais me rebeller. A vos cotés, je deviendrai votre soumise, votre conquête, votre Kajira. »

 

Voilà, c'est fait, je l'ai dis. Comme je me sens bien, libre dans mon cœur, dans ma tête.

Maître  s'approche de moi. Prend la cravache et pose sa main sur ma tête.

Je suis là, à genoux, fragile, vulnérable et je sent cette main chaude sur ma tête, possessive, légère, rassurante.

 

J'ai l'impression que la magie du moment nous mélange, nous rassemble.

Une partie de lui est en moi, une partie de moi est en lui.

Il me confirme sa domination en me disant à quel point il est honoré par un tel cadeau.

 

Vient ensuite le rituel du bonjour.

Je m'approche de lui, ouvre son pantalon et le baisse.

Je caresse son membre déjà dur à travers son slip.

Je le libère de sa prison et il se dresse devant moi, fier, dur, bien droit.

Je l'embrasse tendrement.

Mes lèvres, ma langue se promènent sur tout son membre et ses bourses.

Il durcit encore, s'allonge encore.

Je suis impressionné par sa taille, instant de panique.

Le plaisir éprouvé à m'occuper de lui me fait vite oublier ce moment.

Ma langue lèche le gland, tourne autour, s'attarde sur le frein puis l'enrobe.

Ses mains sur mes cheveux, Maître, me guide doucement.

Il s'enfonce en moi, et par de lent va et vient, je l’entraîne dans une danse

où le plaisir est le tempo. Suivant ses consignes, lorsque je le sent

prêt à vouloir jouir, je m’arrête et caresse tendrement

ses cuisses, son ventre.

 

Il se rhabille, me demande de faire de même et nous voilà partis pour le dîner. Pendant le diner, je dois faire le service  Maître a dit au garçon de poser les plat devant LUI, et m'a ordonner de le servir, ce que j'aime beaucoup faire. Le garçon de service est étonnée, Maître lui dit: "" ne vous inquiétez pas c'est un jeux elle a un gage "".

je fais donc le service je sais que Maître ne mélange jamais les légumes et la viande donc je sépare les deux, je demande une nouvelle assiette au garçon, quand le garçon arrive  Maître fais exprès de faire tomber par terre sa serviette devant la table.

je dois garder les cuisses bien ouverte sous la table, je ne porte pas de culotte, et là et mon inimitée offerte, je sent le regard du garçon sur mon intimité, il redonne la serviette et échange un sourire avec Mon Maître.

 

""Tu mangeras quand j'aurais fini après moi"" me dit IL de sa voix qui m'hypnose littéralement.

 

 

 J'attends donc que Maître ai fini. j'ai un étrange sentiment de honte de bien être d'angoisse, de peur et de jouissance cérébrale je ne me reconnais plus, mon corps et comme fous il veux ce plaisirs de honte d'humiliation et sexuel, mes seins sont dur et le tétons pointent sous mon chemisier et le garçon qui viens "voir" si nous avons besoin de rien cette fois c'est LUI qui fait tomber une cuillère, et de nouveau je sens comme un souffle sur mon sexe Maître m'a fat remonter un peu plus ma jupe et insiste pour que mes cuisses soient bien écartelés.

 

Puis il m'autorise a manger, je mange en baissant la tête de honte, j'ai le sexe offert à l'air exposé aux regards qui se promène sous la table il n'y a pas de nappe donc l'accès aux yeux curieux.

 

Maître est assis a coté de moi et de temps en temps sa main vient sous la table pour s'assurer que mes cuisses sont bien ouvertes largement.

 

 Une fois le dîner fini, le garçon débarrasse  et plusieurs fois fait tomber des couvert ou la serviette sous la table  Maître joue  avec lui et moi en m'exhibant  Mon Maître me teste, j'ai les joues rouge quand nous quittons le restaurant car Maître m'ordonne d'aller dire bonsoir au garçon et de lui donner 10€ de pourboire puis je rejoins mon Maître juste un mots échangé avec le garçon qui m'a dit "Merci madame il est bien Monsieur", je lui ai répondu 'oui c'est Mon Maître' et je lui obéis'

Le repas, a été simple mais plein d'imprévue, et j'en ai oublié le menu Non je ne me souviens absolument pas, étant subjuguée par mon Maître et les promesses des heures à venir.

 

 

-  Nous voilà de retour à la chambre.

 

Je me déshabillai, repris ma position à genoux, offrant de nouveau la cravache à mon Maître.

Il vint, se positionner derrière moi, me demandant de me mettre à quatre pattes, reins cambrés.

 

Je pris la position, intimidé par ce qu'il va se passer.

 

«Lors de nos contacts, j'ai remarqué que tu ne faisais pas tout ce que je te demandai. Je t'ai prévenue que tu seras punie. Ne crois pas que je serai indulgent car c'est notre première rencontre. Tu as fauté, je te punie. Qu'en penses-tu,? »

Je savais que ce jour arriverait, et ma punition allée tomber.

« je suis votre esclave, Maître, je voue ma vie à votre service et votre bonheur. J'ai fauté, Maître, je réclame ma punition, bien méritée. »

 

Le premier coup de cravache tomba sans prévenir, me faisant sursauter et lâcher un cri de surprise. Le second, puis les autres, suivirent sans interruption. Mes fesses me faisaient mal, mes dents serrées, aucun son ne sortait mais je ne pouvais retenir mes gémissements de douleur.

 

Mes fesses, mon sexe, mes seins, tous reçurent la cravache.

Quand Maître estima que ma faute fut lavée, il reposa la cravache et vint vers moi. J’étais là, épuisée, douloureuse, les larmes coulaient sans que je ne puisse rien faire pour les retenir. Il me caressa les fesses, le sexe et les seins, calmant ainsi la brûlure, me procurant un sentiment de bien être, de réconfort.

Il me fit mettre à quatre pattes au bord du lit. Pendant qu'il m’attache les poignées avec mes chevilles, me laissant impudique, le sexe et les fesses bien en vue, il m'expliqua ce qu'il allait faire ensuite.

 

« je vais te préparer l'anus avec du gel, ensuite j'introduirai un, puis deux, puis trois doigts dans ton Anneau sacré afin de le faire s'ouvrir. Oh, ne t'inquiète pas ma petite chienne, je m'occuperais aussi de ta petite chatte. Quand je le voudrai, je positionnerai mon gland à l'entrée de ton Anneau sacré et c'est toi qui t'empaleras sur moi, d'un coup. Tu pleureras, j'attendrais que la douleur diminue, et je commencerais à bouger en toi. Je ne m'occuperais pas de ton plaisir, je veux que tu comprennes que tu es à moi et que ton plaisir doit passer par le mien. Plus tard, je t'apprendrais à jouir de la sodomie. As-tu bien compris ? »

 

J'étais sidérée ! Il allait, non seulement me sodomiser sans penser à me donner du plaisir mais il m'oblige à ce que ce soit moi qui m'empale sur lui. J'avais l'impression d'être comme ces personnes à qui on donne une pelle pour creuser leurs propres tombes.

« J'ai bien compris, Maître », fut tout ce que je trouvai à dire.

 

Tout ce passa comme il l'avait dis. Maître m'avait menotté mes poignets dans le dos et jeté sur le lit me bousculant un peu (comme j'aime être traité un peu rudement)

J'ai sentie sa verge puissante se poser sur mon anneau. De ses large main il écartelait mes fesses "" Viens maintenant allez..!"" j'hésitais un peu Alors Maître  m'a pris par les hanche et m'a assis sur son pieux dur et brulant d'envie de me posséder, "" Tu n'aurais pas du hésiter "" a-t-il dit ..!

 

Je me retrouvai avec son membre en moi EMPALEE sur lui. La douleur promise n'était pas là en tout cas pas forte plutôt insidieuse.  Maître m'avait tenue dans une douleur plus cérébrale que physique. Je serai les dents mais mes larmes plus de peur et d'appréhension qui continuaient à couler malgré moi.

 

Doucement, il commença à bouger. Une petite douleur vint, puis une autre sensation, plaisante elle, l'a remplacé accompagner de la puissance un plaisir immense m'envahie. Sans m'en rendre compte, je commençai à bouger mes hanches, l'invitant à continuer.

Le plaisir pris ce soir là ne fut rien, comparé à celui qu'il me donna par la suite, mais ça, c'est une autre histoire. Je vous la raconterai peut être un jour, qui sais ?

 

Je suis votre soumise comblé mon Seigneur et Maître

 

Sophie 15/10/209

 

Rencontre avec mon maitre Maître- C78

 


Par soumise-kajira - Publié dans : Journal de Soumises KAJIRA - Communauté : Soumission à un Maître
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